RwandAir a réceptionné, ce mois-ci, deux Boeing 737-800, dont l’un est déjà opérationnel. Parallèlement, plusieurs appareils récemment révisés ont repris du service, tandis qu’un troisième avion est attendu au quatrième trimestre de l’année. Ces renforts permettront d’améliorer significativement la qualité des services et des opérations, tout en réduisant les retards et les annulations.

Au cours des derniers mois, la compagnie a été confrontée à plusieurs incidents techniques imprévus sur une partie de sa flotte, réduisant temporairement le nombre d’appareils disponibles. Ces perturbations ont nécessité des ajustements de programme qui ont malheureusement affecté les projets de voyage de certains clients. Toutefois, les problèmes ont été résolus et les avions concernés remis en service, précise un communiqué publié le 27 août 2025.

« RwandAir est heureuse d’avoir surmonté les difficultés rencontrées dans la planification de ses vols ces dernières semaines et de pouvoir désormais compter sur l’ensemble de sa flotte. Nous présentons nos plus sincères excuses à nos passagers dont les voyages ont été perturbés et les remercions vivement pour leur patience durant cette période », a déclaré Yvonne Makolo, Directrice générale de la compagnie.

« L’arrivée de ces nouveaux appareils renforcera la fiabilité de nos opérations, consolidera nos horaires et permettra d’offrir une expérience de voyage encore plus agréable à tous nos passagers. »

Les Boeing 737-800, configurés avec 12 sièges en classe affaires et 162 en classe économique, desserviront principalement des liaisons court et moyen-courriers. D’ici la fin de l’année, RwandAir attend également la livraison d’un Airbus A330-200 long-courrier, qui viendra renforcer ses opérations internationales entre l’Afrique et le reste du monde.

L’acquisition de ces nouveaux avions illustre la volonté de RwandAir de moderniser sa flotte et d’élargir son réseau. Cet investissement stratégique, alliant appareils à fuselage étroit et gros-porteurs, traduit l’ambition de la compagnie de consolider les voyages intra-africains tout en renforçant les connexions entre l’Afrique et le reste du monde.